Monsieur le secrétaire d'État, l'argumentation que vous venez de développer pour l'ENA peut s'appliquer à l'ensemble de la fonction publique. Quand quelqu'un passe un concours, est reçu et formé, le futur fonctionnaire, d'abord stagiaire, puis titularisé, est nommé sans que l'administration choisisse le candidat. La mise en place de votre dispositif au niveau de l'ENA signifie donc qu'il faudra revoir l'ensemble du système de concours de la fonction publique. Je m'interroge…