J'en ai terminé, monsieur le président.
Le choc asymétrique est toujours devant nous. Car l'Espagne, la Grèce, le Portugal ont d'importants déficits commerciaux – en Espagne, il atteint 10 % du PIB. Combien de temps cela va tenir ? Personne ne parle de ce choc asymétrique parce que, visiblement, il faut s'occuper d'autres problèmes.
En tout cas, je crois, comme vous, qu'il y a une nécessité de coordination européenne, de retour des États dans la construction européenne. Aujourd'hui, l'Europe des réalités, c'est l'Europe des États, ce n'est pas l'Europe du communautarisme idéologique suranné.