J'admets que l'on soit contre un texte, mais on ne peut pas s'opposer à sa lettre. Il suffit de savoir lire et le texte est suffisamment clair.
Troisièmement, imaginons que nous conservions le système actuel du défenseur des enfants. Que se passerait-il ? Nous devons nous poser la question. Nous sommes ici, Assemblée nationale, Gouvernement, non pour défendre des institutions, mais pour défendre des droits, des intérêts ou des situations dignes d'intérêt et de défense.