Quelque 500 enfants sont signalés, conformément aux textes en vigueur, mais personne ne les prend en charge faute de moyens. Comment voulez-vous qu'un enfant qui présente des troubles de comportement parfois graves, qui n'est pas suivi par des professionnels de la santé, puisse voir son cas s'arranger ?
Nous demandons des moyens. Dans des secteurs comme ceux-là, il faudrait multiplier par dix le nombre de pédopsychiatres, le nombre d'éducateurs et le nombre d'assistantes sociales pour pouvoir prendre en charge les situations dramatiques que nous constatons.