En cette fin d'année 2010 le constat est alarmant : l'équilibre et la séparation des pouvoirs, chers à Montesquieu, n'existent plus en France. La démocratie fondée sur la pondération entre l'exécutif, le législatif et le judiciaire est aujourd'hui mise à mal.
Souvenez-vous, mes chers collègues, de cette formule de Montesquieu : « C'est une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir est porté à en abuser ».