Avis défavorable.
Monsieur Vidalies, je vous précise qu'il nous faut concilier deux exigences.
D'une part, nous devons laisser le temps à la négociation de prendre en compte la nouvelle législation, ce qui a son importance au regard du principe constitutionnel de liberté contractuelle.
D'autre part, nous devons permettre que la réforme entre en vigueur assez rapidement.
Le délai du 31 décembre 2009 semble répondre à ces deux exigences.
Enfin, si un nouvel accord collectif est signé aussitôt après la parution d'un décret, il est bien évident que c'est l'accord collectif qui s'appliquera.