Ce qui est plus grave, c'est que cela fait partie d'un ensemble. On nous avait promis un élargissement des droits du Parlement ; nous avions été un certain nombre à n'être pas assez naïfs pour croire ces promesses de Gascon. Le temps de parole a été contingenté, le temps accordé pour les explications de vote nous a été refusé, en contradiction avec les dispositions du nouveau règlement de l'Assemblée. Cette fois-ci, après que la commission des finances a travaillé pendant des dizaines d'heures, nous assistons au final à l'humiliation du rapporteur général ; et à travers lui, c'est nous tous qui sommes humiliés, piétinés, c'est tout le travail méticuleux, consciencieux, des députés qui est mis à bas.