Je remercie d'ailleurs M. le secrétaire d'État de m'avoir permis de rajeunir de quelques années.
Il fut un temps où, lorsque je réclamais la transparence sur le budget de l'Élysée, sa consolidation et le contrôle de la Cour des comptes, les ministres de l'époque traitaient mes propos tantôt avec ironie, mépris ou suffisance, en indiquant que je ne connaissais rien, jusqu'au moment où le Président de la République a décidé de suivre mes recommandations.
Le ton que vous avez employé, monsieur le secrétaire d'État, m'a ramené un peu en arrière, et je vous en remercie.
(L'amendement n° 367 est retiré.)