Il faudrait que le rôle qu'ont à jouer les parents, notamment dans les quartiers défavorisés, soit soutenu non seulement par les collectivités locales, comme c'est souvent le cas, mais aussi par l'État qui, en la matière, devrait mener une politique particulièrement volontariste. Or on s'aperçoit que, au contraire, cette politique est complètement abandonnée au fil des ans.
Il s'agit pour nous de réaffecter à l'action n° 1, « Accompagnement des familles dans leur rôle de parents », des crédits qui sont destinés au programme « Conduite et soutien des politiques sanitaires, sociales, du sport, de la jeunesse et de la vie associative » et qui, je le rappelle, ne sont pas consommés.