C'est bien parce que le RSA connaît des difficultés de montée en puissance qu'il faut pouvoir mobiliser les outils permettant aux gens éloignés de l'emploi de s'en rapprocher. Or c'est exactement le rôle que doit remplir l'allocation personnalisée de retour à l'emploi. Nous nous heurtons moins à un problème de gouvernance qu'à des critères trop restrictifs, réservés à des gens qui ont déjà un emploi. Nous suggérons donc d'assouplir ces critères : cela permettrait de consommer les 150 millions d'euros mis à disposition l'an dernier et que je propose de reconduire cette année.
(Les amendements identiques nos 388 et 426 ne sont pas adoptés.)