Ensuite, je rappelle qu'il est resté assez isolé au sein de ce gouvernement et que, très souvent, il s'est heurté aux réticences de cette majorité qui jamais ne partagea le projet du Grenelle, et à la dictature du court terme qui porte le nom de crise, d'échéance électorale, de groupes de pression et, depuis peu, de niches fiscales.
Monsieur le ministre, la séquence de l'ambition écologique, de la magie du Grenelle est bien derrière nous : plus question de la croissance verte et de ses vertus écologiques et économiques ; oubliés, les 600 000 emplois qui pouvaient être créés ; abandonnés, les 400 milliards d'investissements !