Il y a des postes où sont déployées entre 300 et 400 personnes. Est-ce nécessaire ? Je n'en suis pas très sûr. Il y aura encore des efforts d'ajustement à faire. Il y a des postes où, au contraire, de nouveaux agents devraient être envoyés.
Cet équilibre est très difficile. Nous avons tendance – mais c'est une tendance à laquelle je résiste – à supprimer ou diminuer les petits postes, là où il n'y aura pas beaucoup de protestations. C'est une erreur. Nous nous attaquerons, et nous l'avons déjà fait, aux grands postes. Et il y a des grands postes européens, dont le service d'action extérieure, appelé par M. Myard le « service d'inaction extérieure », ce qui est tout à fait iconoclaste et scandaleux.