Jean Jaurès a écrit un jour que la nuit de l'ignorance ne s'était pas dissipée, à travers les siècles, par une « illumination soudaine et totale ».
La situation dans nos quartiers ne changera pas en un jour. L'injustice de voir son destin dépendre étroitement, presque implacablement, de l'endroit où l'on est né, ne pourra être combattue qu'en rassemblant toutes les énergies, toutes les volontés, tous les talents. C'est l'esprit de la politique que j'ai mise en place.