Les difficultés, il faut donc les nommer pour leur faire face, loin des clivages partisans et des partis pris idéologiques.
J'en vois trois principales, qui commanderont une action résolue de l'ensemble du Gouvernement lors des mois à venir. Ce sont les freins dans l'accès à l'emploi des jeunes issus des quartiers populaires. C'est la tranquillité publique en banlieue, condition indispensable à l'épanouissement des habitants des quartiers et à toute politique d'égalité des chances. C'est le renforcement de la péréquation, appelée à compenser les inégalités territoriales entre les villes riches et les villes pauvres.