Et je rends hommage à Fadela Amara, qui a défendu en permanence, au sein du Gouvernement, la politique de la ville et sa nécessité. Je regrette qu'elle n'ait pas toujours été entendue comme elle aurait dû l'être.
Vous me permettrez, mes chers collègues, de regretter que le Premier ministre ait choisi ce jour pour faire une visite consacrée à la politique de la ville, à la politique des banlieues. C'était certainement nécessaire. Nous attendons depuis longtemps que le Gouvernement se prononce, par exemple, sur la refonte de la géographie prioritaire, sur une relance de la politique de la ville.