Les désordres qu'il occasionne ne sont pas des moindres au niveau des pratiquants et particulièrement des plus jeunes du fait des représentations qu'ils intériorisent. Ces désordres existent au niveau du spectacle sportif et donc du public – spectateur ou bien entendu téléspectateur –, public qui est aussi aujourd'hui légalement parieur.
La question des dérives et des excès ne peut être traitée par des états généraux, des séminaires ou des coups de menton ; car ces agitations ne font que masquer l'affaiblissement progressif des politiques sportives de l'État qui a délégué à d'autres des pans entiers de ses responsabilités, des pans entiers de ce qui constituait jusqu'alors l'originalité française en la matière.