Je réfute cet argument. L'an dernier, au même endroit et à la même date, le même problème s'est posé. Si le ministre avait eu la volonté de réformer entre-temps le code des pensions, il aurait eu tout loisir de le faire, et il ne nous apporterait pas aujourd'hui la réponse qu'il vient de nous apporter. (Applaudissements sur plusieurs bancs.)