Je rappelle que la commission de la défense a en effet voté cet amendement à l'unanimité.
Le montant concerné, soit 20 millions d'euros, représente un millième du chapitre concerné.
Monsieur le ministre, à quoi servirait-il que nous consentions des efforts aussi importants en matière de nucléaire, à hauteur de 20 %, de notre budget, si l'une des deux composantes devait rester au sol ? Nos KC-135 sont à bout de souffle ; nous ne pouvons pas prendre le risque que nos avions soient immobilisés parce qu'ils ne pourraient pas être ravitaillés en vol.