Nous ne pouvons que difficilement envisager d'aller plus loin dans la réduction d'effectifs sans réviser le contrat opérationnel de nos armées. Nous ne pouvons aisément aller plus loin dans la réduction du nombre de jours d'activité, déjà proche des limites basses des standards alliés. Et l'on ne peut réduire les moyens des activités, qu'il s'agisse de munitions, de carburants ou de simulation, sauf à accepter d'hypothéquer la capacité opérationnelle de nos forces, voire la sécurité du personnel.