Monsieur le ministre, pouvez-vous nous préciser quelle est la position de la France par rapport à cette proposition des Américains ?
Nous savons que, aujourd'hui, les coopérations européennes et internationales, quel que soit leur intérêt, n'apportent que des réponses très sectorielles aux problèmes qui nous sont posés. Nous ne pouvons donc pas faire abstraction de notre effort national : il est évident que cet effort devra se poursuivre durant des années.