En conclusion, je souligne que, dans le monde nouveau né de la crise financière de 2008, l'endettement des États et les graves déséquilibres des finances publiques obligent les gouvernants à repenser leurs politiques et à revoir leurs priorités. La défense de la France, difficilement financée aujourd'hui et qui le sera plus encore demain, ne doit pas s'exempter de choix stratégiques. Il s'agit de construire un modèle d'armée moins complet mais plus performant, moins autonome mais plus européen, coordonné avec nos alliés.
Je terminerai mon propos, monsieur le président,…