C'est surtout cela que les jeunes ont besoin d'apprendre au départ.
Des centres comme ceux que vous évoquiez à l'instant, j'en ai créé lors de mon passage au ministère de la défense : ce sont les centres de la deuxième chance, destinés à des jeunes à la limite de la délinquance et qui fonctionnent relativement bien. Mais pour les vrais délinquants, c'est déjà bien tard. À mon avis, faire reblanchir un mur par ceux qui l'ont « tagué », c'est probablement la première réponse et la plus efficace. Pour les jeunes en tout début de dérapage, le petit travail d'intérêt général constitue sans doute la réponse la plus adaptée.
Cela étant, nous avons aussi des jeunes, parfois très jeunes malheureusement…