Mme la ministre a tenu à le souligner.
Je regrette moi aussi que le sentiment d'humanité ne soit pas largement partagé entre nous, mais passons sur ce point et insistons sur les questions de santé publique. Les personnes qui peuvent être atteintes d'affections contagieuses si elles ne sont pas traitées, d'une part, voient leur situation s'aggraver et coûteront plus cher en soins, comme Mme Bachelot l'a justement rappelé, et d'autre part, disséminent leur maladie, ce qui pose un véritable problème de santé publique.
Vous parlez de cures thermales et de chirurgie esthétique. Je vous avoue être très surprise.