Sur le principe, je suis naturellement d'accord pour que l'on développe les modes de prise en charge alternatifs à l'hospitalisation, même s'il faut veiller à ce que l'accompagnement des soins, tant physique que psychologique, soit également assuré.
Cela étant, madame la ministre, quelle place réservez-vous à l'hospitalisation à domicile, assimilée à un établissement depuis la loi HPST ? N'y a-t-il pas ambiguïté lorsque l'on parle d'alternative à l'hospitalisation ?