Je n'ai pas cette prétention, monsieur le président Warsmann ; je ne suis que votre modeste imitateur. (Sourires.) Jamais nous n'aurions pu, disais-je, trouver de mots plus durs que les vôtres : « Nous ne pouvons pas accepter de faire sauter le système actuel en supprimant l'obligation d'apporter des recettes pérennes ou en reportant le délai prévu. Il me semble qu'aucun parlementaire ne pourrait s'y résoudre en son âme et conscience. »