Dans ma Normandie natale, on ajoute même : « et le mariage débleune », ce qui, en patois, signifie : « ouvre les yeux ».
M. Lamour nous présente cela d'une façon bonasse, avançant les retours sur les filières. Qu'il y ait des retours, personne n'en doute : on entend déjà les piécettes tomber dans les tirelires !
Sans doute est-ce par discrétion, et pour ne pas allonger les débats, mais pourquoi ne nous expliquez-vous pas, monsieur Lamour, que l'on est en train de privatiser, si bien que l'argent ne sera pas perdu pour tout le monde ? N'est-ce pas déjà le cas pour la filière du cheval avec la privatisation du haras du Pin ? Vous êtes au courant !