C'est la convention de Chicago qui, en 1944, pour favoriser les échanges internationaux, a instauré cette exonération, depuis lors pratiquée partout dans le monde.
Il serait souhaitable d'y mettre, un jour, un terme. Si une démarche devait être engagée, elle pourrait l'être au niveau européen. Le faire au niveau purement français, M. Launay le sait, serait faire courir un risque majeur à des dizaines et des dizaines de milliers d'emplois, car il y aurait immédiatement des détournements de trafics au profit d'aéroports proches de nos frontières, je pense par exemple à Bruxelles ou à Genève.