Je conclus, monsieur le président.
Au bout du compte, seuls résisteront les grands groupes nationaux, voire internationaux. Sans parler du découragement de tous ces jeunes étudiants qui se sont orientés avec confiance vers des filières dans lesquelles l'État et les collectivités ont investi et qui leur ont été présentées comme porteuses d'avenir. Il s'agit donc, en plus d'un mauvais coup économique, d'un mauvais coup porté à tous ces jeunes qui s'engagent vers les professions environnementales.