Je trouve que c'est déjà extrêmement courageux, extrêmement ambitieux.
Compte tenu des divergences qui peuvent exister, y compris au sein de nos groupes politiques respectifs, compte tenu de la nécessité d'un travail de comparaison international – il s'impose absolument dans le contexte de compétition que nous connaissons –, la proposition du Gouvernement est extrêmement saine, extrêmement sage.
Le débat suscité par l'amendement de notre collègue Piron et des autres cosignataires, dont, bien qu'étant libéral, je ne fais pas partie, n'en était pas moins utile, puisqu'il a permis de fixer ce calendrier.
Maintenant, je crois qu'il faut nous en tenir au bon sens. Tel est le message que je voulais vous faire passer.