Reconnaissons que ces amendements ont déjà le mérite de susciter, en commission puis dans l'hémicycle, un débat de bonne tenue, ce qui nous change un peu. Ils ont également le mérite de lever un tabou pour ceux d'entre nous qui souhaitaient, depuis quelques années déjà, la disparition du bouclier fiscal.
Je remercie le rapporteur général d'avoir aussi complètement résumé l'argumentation des auteurs. À part la conclusion, c'était parfait ! (Sourires.)
Ces amendements ont suscité trois reproches. Le premier est : ce n'est pas le moment.