J'aurais été favorable à ce que nous maintenions le taux forfaitaire de frais de fonctionnement à 75 % des dépenses de personnel, à la fois pour l'efficacité de la mesure et pour le signal adressé aux entreprises.
Mme de La Raudière avait proposé, dans son sous-amendement de repli, de porter le taux de 50 % à 60 % pour les dépenses de personnel. Le maintenir à 50 % et fixer un taux de 75 % pour les frais d'amortissement est, me semble-t-il, une meilleure solution, et je m'y rallie, dans l'esprit de ce que vient de déclarer le président Ollier concernant l'industrie.