Si je prends cette position, c'est parce que de nombreux chefs d'entreprises de ma circonscription m'ont fait part d'une différence de traitement : une grosse entreprise, elle, dispose des services ad hoc. Je rejoins donc Yves Nicolin mais ma conclusion diffère de la sienne : nous devons demander des efforts non en réduisant le crédit d'impôt recherche, mais en diminuant la part de certains intermédiaires qui doivent consentir, comme tous, aux efforts nécessaires. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC.)