Je suis évidemment défavorable à cet amendement. En effet, celui-ci pénaliserait gravement les petites et moyennes entreprises qui ont pu bénéficier, lors de la crise, d'un remboursement anticipé pour l'intégralité des créances qu'elles détenaient sur l'État. Accepter cet amendement serait remettre en cause un mécanisme qui, dans une période de reprise d'activité, est absolument indispensable à la poursuite de leurs investissements dans la recherche et le développement.