Il y a naturellement un droit de réponse pour le président de la commission des finances, qui nourrit à son tour un droit de réplique pour le ministre. Et puis nous en terminerons là.
Chacun sait que je tiens le président de la commission des finances en haute estime, même si nos chemins divergent à bien des égards. Il y a eu trois très bons moments dans votre intervention, monsieur le président de la commission : le premier sur la référence au gaullisme ; le deuxième à l'évocation émue de Jacques Chirac ; et le troisième sur la situation de l'actuel porte-parole du parti socialiste. Je comprends que cela vous gêne que Benoît Hamon passe ses week-ends avec M. Besancenot, et qu'il soit un peu le pizzaiolo des agapes démagogiques de l'extrême gauche. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.) Je ferme la parenthèse. C'était une petite malice.