Monsieur le ministre, mes chers collègues, chacun s'accorde sur la nécessité de réduire nos déficits publics, en particulier parce qu'ils pèsent sur notre souveraineté et l'avenir de notre pays.
Les efforts que traduit en ce sens votre projet de loi de finances, monsieur le ministre, sont parfaitement justifiés. Ils sont même encouragés par le directeur général du FMI, M. Strauss-Kahn, que l'on ne peut suspecter d'ultralibéralisme.