Je vous remercie, monsieur Grosdidier, mais si vous souhaitez que nous dialoguions, nous aurons l'occasion de le faire de façon plus sympathique dans d'autres circonstances et, en attendant, si vous prenez la parole, je vous écouterai attentivement.
Sur ce point de PIB, 0,9 point est dû aux décisions gouvernementales et 0,1 point à la croissance mécanique des recettes.
Notre collègue Charles de Courson a rappelé que dans le programme de stabilité transmis aux autorités de Bruxelles, 40 milliards d'euros de prélèvements obligatoires supplémentaires sont prévus. Or, au motif qu'il ne faudrait pas les augmenter – alors que de fait ils augmentent –, vous vous apprêtez à jeter au panier la seule règle des finances publiques que la France ait jamais adoptée, du reste à votre initiative – et ce fut la seule.