M. Goasguen n'a pas bien compris mes propos. J'ai indiqué que la base législative existante nous permet de faire déjà beaucoup.
Non, le ministre chargé de la nationalité que je suis n'a pas la possibilité – et il m'arrive de le regretter – de naturaliser qui il veut, comme il le veut et en l'absence de critères.