Madame Mazetier, monsieur Roman, je voudrais vous dire que je ne me sens absolument pas gêné. J'ai simplement essayé, de façon nuancée, de vous expliquer l'analyse du Gouvernement. Je vous suggère de relire, à froid, cette analyse : vous y trouverez beaucoup d'explications et, je crois, des assurances sur ce qui paraît vous préoccuper.
Nous avons droit à la nuance, je ne suis pas obligé d'être en permanence dans l'emphase et le combat.