À entendre nos collègues de l'opposition, on a parfois l'impression que le coeur n'est que du côté gauche, et que la France ne fait rien pour soigner les étrangers malades. Étant moi-même très impliquée en faveur de l'aide de la France au développement des pays pauvres et en voie de développement, je veux rappeler que la France consacre une part importante de son budget aux questions de santé.