C'est ce qui fait que le racisme doit être rejeté absolument puisqu'il crée une différence que l'on ne peut abolir entre les hommes, et qu'il érige entre eux des barrières infranchissables qui permettraient de reprocher – comme, malheureusement, cela a été fait – à quelqu'un d'être né. Écartons donc cette idée de racisme que vous avez évoqué, et revenons-en à celle du culturalisme et du respect, car, je le répète, c'est la culture qui fait l'identité.
Je veux aussi vous inviter à réfléchir aux trois degrés cités à plusieurs reprises.
Mes chers collègues, toutes vos réflexions sont empreintes d'un manichéisme idéologique qui devient drôle. Vous parliez des « bons Français » et des « mauvais Français »…