De deux choses l'une : soit le parrain et la marraine ne sont comptables de rien, mais c'est déjà le cas ; soit le parrainage les engage de manière plus contraignante, mais l'on s'avance alors sur la voie de conflits en matière de filiation, avec les grands-parents, avec les frères et soeurs, etc.
L'ajout d'une telle disposition à la loi me paraît préoccupante : elle présente plus d'inconvénients que d'avantages. Pour ne rien vous cacher, je ne voterai ni pour ni contre, je m'abstiendrai, mais je veux attirer l'attention de l'Assemblée sur les conséquences possibles de l'adoption d'un tel amendement.