Si cela ne me dérange pas d'accueillir des cerveaux venant de l'étranger, encore faut-il que cela se passe, comme l'a rappelé notre collègue, non pas de manière unilatérale, mais dans le cadre d'une véritable politique de codéveloppement avec les pays dont sont originaires ces personnes, en cherchant notamment à savoir comment elles pourront par la suite, grâce au perfectionnement de leurs connaissances rendu possible par leur passage dans notre pays, apporter quelque chose au leur.