J'ai relevé l'expression de M. Blisko, pour qui j'ai beaucoup de sympathie : il a parlé de « diplôme du coeur ». Le problème, c'est que, quand on a simplement le « diplôme du coeur », on finit souvent parmi les 25 % que j'ai cités.
Ou bien, disais-je, notre pays arrête de rêver, se rend compte que nous sommes dans une économie mondialisée et se propose d'attirer chez nous les meilleurs, et non pas uniquement ceux qui ont les plus grandes chances – pardonnez-moi – de finir à Pôle emploi.