Nous sommes tous à peu près d'accord pour reconnaître que ce problème de l'immigration repose sur plusieurs pieds. La raison en est un : nous avons chacun notre curseur en la matière et avons beaucoup débattu sur les valeurs républicaines pendant deux mois. Mais il y en a d'autre, et notamment celui du co-développement.
Monsieur le ministre, j'ai stigmatisé l'intitulé de votre ministère hier ; vous m'avez répondu, à juste titre, que le développement y figurait aussi. Mais je trouve dommage qu'un texte comme celui-ci n'ait pas réservé un titre au co-développement – ne serait-ce que par rapport à l'intitulé de votre ministère que vous défendiez hier.