M. Mallot, qui est une personne instruite et intelligente, joue de façon fort désagréable sur les mots. Nous prenons le mot « pénibilité » dans une acception large, car nous souhaitons tous que plus personne ne dise exercer un travail pénible. C'est la raison pour laquelle il est nécessaire de mener une politique de prévention.
J'ai proposé – et la commission l'a accepté – de modifier l'intitulé du titre IV « Pénibilité » en « Pénibilité du parcours professionnel ».