Nous avons beaucoup évoqué dans cet hémicycle l'égalité entre les hommes et les femmes, l'émancipation professionnelle de ces dernières. La mesure prise en 1924 ne concourait pas à ces objectifs, pas plus qu'elle ne visait à soutenir la natalité du pays.
Ensuite, si vous estimez que cette mesure est la panacée en termes de politique nataliste, que n'avez-vous proposé, dans un projet socialiste qui abonde en bonnes solutions – vous prélevez et vous taxez sans vergogne –, de généraliser une mesure permettant, aux agents du public comme aux salariés du privé, de partir à la retraite à taux plein après quinze de service et avec trois enfants ?