Monsieur le président, je serai très bref, mais j'avais promis de rappeler, de matraquer – si vous me permettez ce terme – qu'il est nécessaire d'avoir une loi spécifique pour l'agriculture d'outre-mer. Je ne cesse de le répéter, en espérant être écouté à un moment donné.
En attendant cette loi, nous proposons des programmes régionaux d'installation-transmission.
L'une des grandes difficultés que nous rencontrons, c'est la possibilité de reprise notamment quand il s'agit de très petits terrains où se pratiquent le vivrier, le fruitier et l'arboriculture.