Je suis persuadé qu'on y arrivera puisque le produit existe. Les primes d'assurance sont très variables d'un produit à l'autre et d'une filière à l'autre. Dans l'arboriculture, le niveau de risque étant le plus élevé, le niveau de prime d'assurance est aussi élevé – sans doute exagérément. Nous estimons que grâce à la réassurance publique et au taux de subvention porté à 65 %, les arboriculteurs seront davantage incités à souscrire une prime d'assurance, ce qui devrait avoir pour effet de faire baisser le niveau de la prime. J'ose espérer que cela aura un effet positif sur le développement de l'assurance dans ce secteur.