C'est un amendement que je qualifierai de rédactionnel. (Rires.)
En effet, il s'agit de substituer aux mots : « de maintien du commerce de proximité » – même si l'on voit évidemment ce que cela signifie – les mots : « d'approvisionnement des besoins de première nécessité ».
Certes, il y a une nuance entre les deux formulations ; je l'admets. Pourquoi cet amendement ? Tout simplement parce que, suite à un échange de courriers avec la Commission européenne, il nous a semblé que la formulation proposée était plus proche de ce qu'elle souhaitait. Nous proposons cette modification pour éviter tout problème en la matière.