La restauration collective repose essentiellement sur les collectivités locales, compétentes en la matière.
L'enjeu est la qualité gustative, qui renvoie à la saisonnalité et aux circuits courts. En outre, la filière biologique n'est pas assez développée et, si le Grenelle a prévu d'inclure 20 % de produits biologiques dans la composition des repas en restauration collective, il s'agit d'un objectif à terme.
Cet amendement est donc très difficile à mettre en oeuvre pour les collectivités locales.